#souveraineté nationale
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Kidal libérée et la Transition clarifiée : le discours historique de Dr Choguel Kokalla Maïga au M5-RFP
Discours de Dr Choguel Kokalla Maiga, Premier ministre, Chef du Gouvernement, lors du meeting du mouvement du 05 juin-rassemblement des forces patriotiques (M5-RFP) Monsieur le Président par intérim du Comité Stratégique du M5-RFP, Eminents membres du Comité Stratégique du M5-RFP, Camarades militants et sympathisants du M5-RFP, Compagnons de route membres des Forces du Changement pour la…
#Assises Nationales de la Refondation#Choguel Kokalla Maïga#CICB Bamako#discours politique Mali#Forces armées maliennes#Kidal#M5-RFP#Mali kura#Refondation du Mali#souveraineté nationale#transition malienne
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oros et Netanyahou, même «objectif final»: «achever la destruction des nations par une grande guerre nucléaire–Youssef Hindi
«Le projet de Nouvel ordre mondial et le projet messianique juif sioniste convergent», explique (https://x.com/DubreuilhMarcel/status/1723649172631429498) l'essayiste.
L'objectif est de «détruire les valeurs traditionnelles, les nations, transférer la souveraineté nationale vers des organisations supra-étatiques comme, en Europe.»
A la suite de quoi, la seule nation au monde qui aura droit à des frontières et à un régime traditionnel, sera Israël, en conclut Hindi.
C'est ce qui explique le double discours des Bernard-Henri Lévy et Jacques Attali, qui sont contre les nations partout dans le monde… sauf en Israël.
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helloo, tu peux expliquer mieux pourquoi tu votes pour les verts ? :)
Du coup, disclaimer : j'ai lu les 9 chapitres du programme de LFI et il est, globalement, excellent. Il couvre aussi en peu plus de sujets que le programme de Marie Toussaint et des Ecologistes (EELV), pour lequel je voterai dimanche. J'ai voté LFI avant, et je suis absolument pour le vote LFI aux européennes, mais j'encourage à se pencher sur le programme d'EELV aussi. Mes raisons principales sont :
- L'historique eurosceptique chez LFI, très adouci depuis 2022, mais toujours bien présent. Les deux causes politiques qui me tiennent le plus à cœur, la défense des animaux et des langues minoritaires et minorisées, souffrent énormément du refus d'appliquer les directives européennes à l'échelle nationale en France, et de l'absence de pression que peut exercer l'UE sur la France, voire de sanctions. Ainsi malgré les rappels à l'ordre, la France peut décider d'ignorer les traités européens interdisant certaines pratiques de chasse (il faut que le Conseil Constitutionnel soit saisi par des associations, il y a blocages, ça dure et dure, le Préfet ratifie exception sur exception...). La France a aussi décidé de ne pas signer La Charte européenne des langues régionales et minoritaires. Je suis pour une Europe plus fédéraliste, dans laquelle on puisse imposer certaines choses à l'issu d'un processus démocratique au sein de l'instance européenne. Je suis bien consciente que cette vision comporte des risques, mais je crois en un cadre législatif et global qui puisse tendre vers ce modèle sans dérives grâce à un organisme indépendant qui puisse faire autorité (comme le conseil constitutionnel en France. La création d'un tel organe est d'ailleurs défendu par LFI, pour des raisons toutes autres et parfaitement louables, celle d'éviter le lobbying, et je soutiens également). En bref, LFI s'oppose et vise même à limiter le pouvoir européen, quand je crois qu'il faut l'accroitre (évidemment selon un processus démocratique bien précis). Écrire qu'on veut faire "ratifier de nouveaux traités « respectueux de la souveraineté des peuples » par référendum", c'est très beau sur le papier, mais qu'est-ce que ça veut dire ? Faire partie de l'UE c'est respecter certaines règles, et une certaine vision. La souveraineté d'un peuple comme moteur du processus décisionnel, ça peut être pour le meilleur et pour le pire. Ça peut vouloir dire la fin des droits LGBT sur le territoire national, parce qu'on respecte la voix majoritaire du peuple souverain (comme c'est actuellement le cas dans plusieurs pays de l'UE ! On l'aura compris, je suis pour un peu moins de souveraineté...) Bref, c'est flou, et si je suis pour une plus grande représentativité des peuples (voir par exemple l'excellente idée du "droit de veto social" chez EELV), cette défense de la souveraineté à tout pris me laisse, au mieux, perplexe.
- Je suis donc pour la création d'un Constitution européenne, défendue par EELV. Je voudrais voir inscrit, dans cette constitution (comme un jour, on l'espère, dans la constitution française), l'obligation de protéger les langues minoritaires comme le veut la Charte de 1992. (On rappelle par exemple qu'LFI, contrairement même aux partis de droite, a voté contre la loi Molac ! Ils se sont aussi prononcés contre le changement de l'article II de notre Constitution, qui fait tant de mal à nos langues régionales). Évidemment les problématiques animale et des langues ne sont que deux sujets parmi beaucoup d'autres - à vous de juger si vous êtes plutôt pour une Europe à tendance fédérale, ou pour le souverainisme que défend LFI.
- LFI s'oppose à l'entrée de l'Ukraine dans l'UE (et de tout autre pays !) : "refuser tout nouvel élargissement de l’Union européenne, notamment à l’Ukraine, tant qu’une harmonisation écologique, sociale, fiscale et des droits humains n’a pas été menée". C'est, pour moi, très flou, et contraire au pragmatisme que nécessite la situation actuelle.
Concernant le programme d'EELV : "D’inspiration très fédéraliste, le programme des Ecologistes propose de mettre en place une assemblée constituante à l’issue des élections de juin ���pour réviser les traités et aboutir à une proposition de Constitution européenne”. On y trouverait par exemple des listes transnationales pour les élections européennes, ou encore un droit d’initiative législative pour les eurodéputés (pour l’instant entre les mains de la Commission européenne). [Les deux derniers points font aussi parti du programme de LFI. Mais sans Constitution, c'est donner plus de pouvoir aux députés (oui !) et pas à l'UE. Ce n'est pas ma vision.]
L’unanimité des Etats est pointée du doigt par les écologistes : actuellement requise pour certaines politiques (fiscalité, politique étrangère…), elle est ainsi accusée de ralentir le processus de décision européen. Différentes mesures de transparence des institutions européennes et de lutte contre les lobbies figurent également dans ce programme."
- Pour ce point-ci, nouveau disclaimer : ça me coûte. Moi aussi j'ai la guerre en horreur. Moi aussi je crois en une démilitarisation globale et idéologique. Moi aussi, je sais de quoi est coupable l'OTAN. Moi aussi je voudrais pouvoir dire que je refuse d'envoyer des armes et que j'attends la paix. Mais ce n'est pas le monde dans lequel on vit. Rester flou sur l'aide militaire apportée à l'Ukraine, ce n'est pas non plus œuvrer pour la paix (ni rester flou quand on envoie des armes, pour quoi, et à qui... ce qui se fait actuellement). Je n'ai pas de solution. Mais je ne peux plus défendre cette forme de passivité que prône LFI, et leur idéalisme malheureusement tellement irréaliste qu'il en devient permissif.
Du côté des Ecologistes : "Notre ligne est claire: pour le soutien à l'Ukraine, pour la livraison d'armes, pour l'adhésion de l'Ukraine à l'Union Européenne, contre tout envoi de troupes au sol".
Et le reste ? C'est tout bête, je suis pragmatique et je me fie aux datas disponibles :
- EELV et LFI ont 80% de vote en commun au Parlement Européen. Je sais donc que même si telle ou telle mesure n'est pas explicite dans le programme des Verts, si elle ne concerne pas le fonctionnement de l'instance européenne, elle sera aussi votée par eux. Par exemple, concernant la Palestine, EELV "se dit favorable à la reconnaissance de l’État de Palestine et à une série de sanctions contre Israël au nom du non-respect du droit international. Elle salue le soulèvement de la jeunesse en faveur de la Palestine, et veut engager une lutte globale dans « une Europe en train de dérailler » contre l’extrême droite, l’islamophobie et l’antis��mitisme."
- Attention, EELV est loin d'aduler l'UE : comme je l'ai mentionné, le parti vise à réformer son fonctionnement et à créer des instances neutres auxquelles elle doit répondre. La critique chez les Verts est constructive, mais très présente. Je ne veux absolument pas d'un parti qui défende le statu quo (comme un certain parti présidentiel...)
- Il ne faut pas oublier que c'est une élection proportionnelle ! Au-delà de 5%, des députés du parti vont au Parlement. On ne vote donc pas (que) "contre". On vote aussi avec. Et vu les 6-7% prévus par les sondages pour EELV, j'encourage à les soutenir.
Et concernant quel parti écologiste je défends : certainement pas le parti Écologie au centre. Tout est dans leur nom, d'abord ; l'écologie ce n'est pas au centre, c'est de gauche. Et puis divorce de l'écologie et du social, chasse au "wokisme" qui serait "l'ennemi du bien commun"... Gros soupir.
#european elections#upthebaguette#france#french side of tumblr#French#elections européennes#EELV#LFI#Climate change#My opinion
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Anatole France, ou ''De la bêtise des hommes''...
En cette année 2024, on aurait dû fêter le centenaire de la disparition d'Anatole France, de son vrai nom Jacques Anatole François Thibault. Mais ce centenaire ne sera pas célébré par la République si injuste envers les meilleurs de ses enfants, et envers le talent (et l’œuvre) de cet immense écrivain, adulé en son temps, puis ''dézingué'' par la Gauche –dont se recommandait cet ami de Zola-- au point d'être qualifié de ''l'écrivain le plus insulté de France'' par Marianne (référence relative !)..
Nous, insensibles aux modes, au ''politiquement correct'' (qui l'est surtout scatologiquement !) et rebelles à toute pensée qui n'en est pas une, nous allons, à notre habitude, nous pencher sur les vraies valeurs et les vraies beautés. Mais comme je pense que vous avez très peu fréquenté ce grand homme (comme moi jusqu'à très récemment, quand j'ai eu la chance de ''tomber sur'' l'Ile aux Pingouins), je vous propose un moment avec cet immense talent honteusement conspué –il fut tout de même un des rares Prix Nobel de littérature français, rejoignant Bergson, Romain Rolland, Gide et Mauriac-- pour parler de lui. Puis nous plongerons dans la fange de la littérature de Gauche qui, fidèle à ses mauvaises habitudes, ne lâche jamais un ''ennemi de classe'', même longtemps après sa mort – voyez leur haine toujours renouvelée pour Napoléon ou SS Pie XII !
Pour cet homme qui se situait plutôt à Gauche –mais à cette époque, ce positionnement ne signifiait pas, beaucoup s'en faut, les remugles qu'une vision soit rouge soit rose de notre temps en décadence avancée-- publier une "Histoire contemporaine" où il décrit de manière très fine les problèmes de son temps tels qu'il les perçoit en animant le Salon de Mme de Caillavet, son égérie (dont nous reparlerons plus loin), puis "L'île des pingouins" (1908), qui est une vive critique des professionnels de la politique, est une prise de risque qui, en 2024, interdirait les médias officiels à celui qui oserait écrire : ''Tous les partis qui se trouvent exclus du gouvernement réclament la liberté parce qu'elle fortifie l'opposition et affaiblit le pouvoir. Pour cette même raison, le parti qui gouverne diminue la liberté autant qu'il peut et fait, au nom du peuple souverain, les lois les plus tyranniques. Car il n'y a point de charte ni de loi qui garantisse la liberté contre les entreprises de la souveraineté qui se dit nationale (NDLR : au point de refuser tout référendum !). Le despotisme démocratique n'a point de bornes, en théorie'' .
Son œuvre littéraire est classique et beaucoup moins progressiste que ses engagements politiques et humanistes. C'est peut-être ce qui a gêné les cuistres et les aigris des années 1920. Mais son sens de la formule est tellement aigu que c'est son scepticisme et son ironie qui rendent ses livres si intéressants pour nous... et si insupportables pour qui ne tolère aucune remise en cause de sa suprématie intellectuelle (surtout si elle ne correspond à rien de vrai !). Parmi les tout premiers, il ose décrire un monde que le fanatisme rend cruel. Par exemple : "On croit mourir pour la Patrie et on meurt pour des industriels". Ou ''Il est dans la nature humaine de penser sagement et d'agir de façon absurde''. En 2024, on a oublié le premier terme !
Il est élu à l'Académie Française en 1896 et reçoit le Prix Nobel de littérature en 1921, mais c'est en 1908 qu'il écrit ''L'île aux Pigouins'', roman historico-satyrique. Le ''script'' est étrange : par une succession de hasard trop longs à raconter, toute une.population de pingouins se retrouve transformée en hommes, d'où notre présence sur Terre : Adam et Eve étaient des pingouins, à l'origine ! Et Anatole France peut alors librement ré-écrire une histoire : la nôtre, qui serait la leur... Tout y passe : les origines, les temps anciens, le Moyen Âge, la Renaissance, les temps modernes et même l'histoire future. Reflet de l’histoire de la France, l’histoire des Pingouins n’est qu’une suite de misères, de crimes et de folies et ''ce qui est vrai pour eux l'est pour toutes les nations''...
L’Histoire future décrit le monde contemporain et sa fuite en avant, comme un monde ''où le goût du beau s’est perdu '', où règne ''une laideur immense et régulière'' et où ''la condition humaine hésite entre constructions démesurées, destructions et régressions''. Anatole France écrit en 1908 : ''On ne trouvait jamais les maisons assez hautes... Quinze millions d’hommes travaillaient dans la ville géante''... Et il décrit un cycle infernal qui rend improbable l’idée d’une société future meilleure, ce qui est insupportable à toute la peuplade des faux intellectuels qui ne vivent et ne s'engraissent que grâce à leur adoration pour le dieu Progrès...
Écrivain libre mais citoyen se disant engagé à gauche, Anatole France ne se prive pas d'étriller, dans l'air du temps, les partis cléricaux de l'époque, et de déconstruire les légendes dorées de la dévotion catholique traditionnelle, à un moment où la séparation de l'Eglise et de l'Etat voulue par l'anticlérical-issime Emile Combes va déchirer pour longtemps la Nation française en deux camps jusqu'ici irréconciliables (cf. les mesures vexatoires ou liberticides que pond la Gauche, chaque jour, pour nuire à toute authentique Liberté, notamment en matière d'enseignement !).
Attaqué à sa mort par les plus grandes plumes du pays, le prix Nobel de littérature 1921 cristallisera autour de son œuvre toutes les rancœurs des soi-disant modernes (Rappel : ''l'écrivain le plus insulté de France''). Ce n'est pas par hasard que nos lycéens ne savent rien de ou sur lui : cette lacune ne s'explique pas seulement par leur ignorance abyssale, mais parce qu'ils sont l'ultime maillon d'une longue chaîne d'oubli, le dernier relais de la haine. Aucun écrivain français des temps modernes n'a été l'objet d'une exécration aussi profonde et aussi unanime qu'Anatole France qui, lui-même, ''détestait haïr''. Mais c'est justement cette douceur, cette indulgence, cette tendresse même qui devinrent l'emblème d'une tiédeur dont le progressisme n'a pas voulu. Pour vomir les tièdes, la Gauche a toujours eu besoin de boucs émissaires.
J'émets l'idée que le progressisme a vu ou deviné en lui son antithèse. Or, pour se faire résolument moderne, tout ce qui est ancien doit être rejeté et haï. Cette haine est née le jour-même de sa mort. Jusque là adulé partout et par tous (Zola, Maurras, Blum et Jaurès l'ont aimé et encensé), il fit ensuite l'unanimité contre lui. Indignité ultime pour ses détracteurs, le jour même de sa mort, la soi-disant ''intelligentzia'' du jour, ''les surréamlistes'', des Breton, Aragon, Eluard, Drieu, Delteil.... ont diffusé un tract contre celui qu'ils abhorraient. Son titre ? "Un cadavre". Son parti pris ? Le scandale et l'excès : "C'est un peu de la servilité humaine qui s'en va", "Avez-vous déjà giflé un mort ?", "Refus d'inhumer"... ''le limité, le peureux,le spéculateur à la manque, le niais''... Seules de telles outrances dans l'outrage pouvaient renverser une telle idole, qui ne s'en est pas relevé.
Plus honteux encore : son successeur à l'Académie, Paul Valéry, refusa de prononcer son nom lors de son éloge fun��bre, dans son discours de réception, contournant toute louange pour en faire un blâme implicite. D'ailleurs... "quand on songe au cynisme d'Anatole France, qui vit publiquement aux crochets d'une juive, (sa maîtresse en titre, Simone de Caillavet, était juive par sa mère) et dans le milieu imaginable des dames littéraires israélites, les Stern, les X et Y, etc. !" écrit-il à Gide, en janvier 1898. C'est-y pas de l'anti sémitisme, ça, Madame ?
Céline, toujours modéré en diable (!), ira encore plus loin : "Anatole, plus vicieux et salope que les autres, était pertinemment enjuivé". Et Gide l'abomine : ''France est illisible : il représente le passé, et son style "demi-coupole", sans le moindre "tremblement", me révulse''. Romain Rolland méprise ses complaisances de vieillard pendant la Grande Guerre. Anatole France devient le symbole d'une littérature faisandée, où la compréhension devient compromis. Le rejeter violemment devient un passage obligé,et le rituel propitiatoire qui placera tout ''suiviste'' du bon côté de la modernité. Mais ça, on connaît : c'est notre quotidien !
En effet, comment ne pas établir un parallèle avec la praxis en cours, qui ostracise et ''met à l'index'' n'importe qui qui professe –en ayant en général raison contre la masse hurlante des cons-- une idée qui n'est pas autorisée par, justement, les mêmes ? C'est à cause de cet alignement sur le pire des pratiques de la Gauche que je voulais vous parler de ce centenaire oublié...
H-Cl.
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En Argentine, la démocratie et les droits fondamentaux en péril ! Solidarité avec les travailleuses et travailleurs et les syndicats du pays !
Javier Milei, entré en fonction le 10 décembre 2023, déroule déjà sa politique populiste d’extrême-droite, faisant peser de lourds dangers sur la démocratie et sur les droits fondamentaux des citoyens en Argentine, à commencer par ceux des travailleuses et des travailleurs.
Fin décembre, le président Argentin a présenté le Décret de Nécessité d’Urgence (DNU) et la Loi Omnibus, qui s’attaquent à plus de 300 dispositions touchant aux bases des droits individuels et collectifs. Ces mesures remettent en cause les fondements démocratiques du pays, rompant avec la séparation des pouvoirs et violant la Constitution argentine. Ce décret vise également le démantèlement des services publics et de la protection sociale, avec le licenciement de milliers de fonctionnaires argentins déjà à l’œuvre, en instaurant une austérité dévastatrice pour le modèle social argentin et les droits et intérêts des travailleuses et travailleurs en Argentine.
Parallèlement, ce même gouvernement a rapidement publié un protocole, ayant pour objectif la criminalisation de la contestation sociale, en permettant notamment un usage indiscriminé du recours à la répression d’État contre toutes les formes de lutte, en particulier celles des travailleuses et des travailleurs.
Les travailleuses et travailleurs sont de fait en première ligne face à ces réformes, citons entre-autres : la volonté d’éliminer la justice du travail, la remise en cause de la liberté syndicale et d’adhérer ou non à un syndicat, le renforcement des prérogatives des employeurs pour réprimer l’activité syndicale au quotidien, la mise en place d’une période d’essai de 10 mois, l’élimination en pratique du droit de grève et la suppression du droit à l’indemnisation pour licenciement sans cause réelle et sérieuse.
En outre, ces batteries de mesure incluent le démantèlement des normes environnementales et l’abandon de la souveraineté, sur les richesses naturelles et les terres du pays aux desiderata des capitaux internationaux.
La politique de Milei témoigne de la nature profonde de l’extrême-droite, un danger mortel pour le monde du travail, pour les services publics et pour l’environnement, et un mépris des principes démocratiques les plus élémentaires.
Nos organisations syndicales CFDT, CGT, FO, FSU, UNSA et Solidaires expriment leur plus vive inquiétude face à cette offensive contre les acquis de plusieurs décennies de luttes sociales et syndicales en Argentine.
Nous adressons toute notre solidarité aux travailleuses et travailleurs d’Argentine, et notamment aux confédérations syndicales CGT-RA, CTA-T et CTA-A. Nous les soutenons inconditionnellement dans le processus de lutte qu’elles ont engagés pour faire face aux politiques mortifères de Milei et son gouvernement.
En particulier, nous sommes solidaires de l’appel à la grève nationale du 24 janvier initié par les trois centrales syndicales du pays. Elles réclament le respect du fonctionnement démocratique du pays et de sa Constitution ainsi que le retrait de ces lois bafouant un nombre incalculable de droits fondamentaux, à commencer par les conventions de l’OIT que le pays a ratifiées.
Nos organisations syndicales CFDT, CGT, FO, FSU, UNSA et Solidaires appellent à se rassembler le mercredi 24 janvier à 18h00 devant l’ambassade d’Argentine pour témoigner de notre solidarité avec les travailleuses et travailleurs, et les syndicats, en lutte pour défendre leurs droits et la démocratie.
Rassemblement de solidarité devant l’ambassade d’Argentine le 24 janvier à 18h00 à l’angle de la rue Cimarosa et de l’avenue Kleber, 75016, Paris. Metro 6 : Boissière
#argentina#france#Merci beaucoup#chikis el comunicado original de la intersindical francesa#no se vuelve a decir francia segundo nunca más
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"Après vous avoir persuadé qu'on ne pouvait naître sans assistance hôspitalière, vivre en bonne santé sans médicaments, faire pousser des plantes sans intrants chimiques, faire fonctionner une économie sans immigration massive, être libre sans journalisme, éduquer ses gosses sans éducation Nationale, vivre en sécurité sans flics et assurances, etc. On finira par nous persuader qu'on ne peut pas faire de gosses sans FIV, se déplacer sans pass, régler ses problèmes sans assistance psychologique, etc. La souveraineté profonde est l'enjeu de ce siècle."
Laurent Ozon
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Pourquoi Paul Watson ne sera probablement pas extradé vers le Japon
https://justifiable.fr/?p=87 https://justifiable.fr/?p=87 #extradé #Japon #pas #Paul #Pourquoi #probablement #sera #vers #Watson Le militant écologiste Paul Watson restera en détention jusqu’au 4 décembre, a annoncé ce mercredi la police du Groenland, dans l’attente de la décision de la justice danoise sur la demande d’extraditon du Japon. Âgé de 73 ans, il est en détention depuis le 21 juillet. Me Jean-Charles Teissedre décortique cette procédure complexe. Paul Watson Les spécificités choquantes de la procédure d’extradition au Danemark Le temps passe et toujours pas de juge de l’extradition à l’horizon. Paul Watson, qui aura 74 ans le 2 décembre prochain, le jour de la prochaine audience, doit commencer à trouver le temps long. Arrêté le 21 juillet dernier, puis incarcéré dans une prison du Groenland, il est donc maintenu sous écrou extraditionnel après une énième audience devant le juge de la détention. Paul Watson doit donc encore attendre que le ministre de la justice danois, Peter Hummelgaard, qui supervise le système judiciaire du pays, daigne prendre position. Ce n’est que dans un second temps que le juge de l’extradition du Groenland sera saisi, en cas d’avis favorable à l’extradition du ministre, et c’est sans doute ce qu’il y a de plus choquant : Paul Watson ne peut toujours pas faire valoir ses arguments. Drôle de procédure que cette procédure danoise, au sein de l’Union Européenne (UE), censée garantir un niveau de protection des droits individuels élevé, jusqu’au Groenland, seul territoire danois d’outre-mer associé à l’UE. Car le système danois souffre de la comparaison avec un certain nombre de pays membres de l’UE. En France, seule une chambre de l’instruction, qui relève de la Cour d’appel, peut émettre un avis, favorable ou défavorable, à l’extradition. Il ne s’agit d’ailleurs pas d’un simple avis mais d’une véritable décision de justice qui s’impose au gouvernement. Ainsi, l’implication du pouvoir politique dans la procédure extraditionnelle danoise, à ce stade de la procédure, a de quoi surprendre, les liens de subordination entre la police, les procureurs et le ministre de la justice étant de surcroît particulièrement marqués dans le système judiciaire du Danemark. Une procédure d’extradition sans traité d’extradition Une autre incongruité procédurale est qu’il n’existe aucun traité d’extradition entre le royaume du Danemark et le Japon[1]. Or, les demandes d’extradition s’appuient généralement sur un traité bilatéral ou multilatéral liant deux ou plusieurs États signataires. Ce n’est pas le cas ici. Il est vrai que l’extradition est avant tout un acte de souveraineté qui, à ce titre, n’est pas subordonné à la prévision d’une convention internationale. Une extradition peut donc, théoriquement, intervenir en application d’une loi de procédure nationale, qui trouve alors à s’appliquer à titre subsidiaire. À titre d’exemple, le Chili, réputé être un pays refuge en matière d’extradition, comme de nombreux pays d’Amérique centrale ou du sud, vient d’accorder l’extradition d’un jurassien de 54 ans poursuivi en France pour des infractions de nature sexuelle sur des mineurs, dont certaines par ascendant. Les faits ont dû apparaître suffisamment odieux aux autorités chiliennes pour qu’elles décident de la remise de l’intéressé aux autorités françaises. L’État requis, ici le Danemark, lorsqu’il met en œuvre une procédure d’extradition sans traité d’extradition, manifeste une intention particulière dans un cas particulier. Une sorte d’exception à la règle tacite de non extradition en l’absence de convention avec le pays requérant. Des spécificités locales qui desservent Watson L’interpellation puis l’incarcération au Groenland de Paul Watson, figure emblématique de la lutte contre la chasse baleinière, ne doit rien au hasard. Elle est surtout le résultat d’une volonté politique ultramarine en territoire danois, prolongeant la notice rouge émise par Interpol à la demande du Japon qui viole le moratoire international interdisant, depuis son entrée en vigueur en 1986, la chasse aux Baleines à des fins commerciales. Contrairement aux idées reçues, arrêter une personne visée par une notice rouge n’a rien de systématique. Il s’agit toujours d’un choix étatique, confirmé, ou non, par la demande d’extradition puis par le juge de l’extradition. On sait que certaines personnes visées par une notice rouge, dont des chefs d’Etat, passent certaines frontières. D’ailleurs, la notice rouge qui visait Paul Watson ne date pas d’hier puisqu’elle a été émise en 2012 pour des faits qui remontent au mois de janvier 2010. Pendant tout ce temps, il a manifestement pu vivre, circuler et naviguer à peu près normalement puisqu’il vit entre une péniche parisienne à quai et un pied-à-terre marseillais, sans que la France n’ait jamais procédé à son arrestation. Ce n’est donc pas un hasard si, d’après les informations disponibles, les autorités groenlandaises ont obtenu des îles Féroé, autre territoire autonome sous tutelle danoise, les détails de l’itinéraire du navire de Paul Watson, le Johan Paul DeJoria, parti de Dublin, en Irlande, soupçonnant une escale à Nuuk, au Groenland. Dans ces territoires, la chasse aux cétacés est une tradition culturelle (le grind). Autant dire que Paul Watson n’y est pas le bienvenu. Son interpellation n’est pas le fait d’un contrôle inopiné. Une infraction politique ? Parmi les moyens invoqués par Paul Watson pour s’opposer à son extradition, figure celui du caractère politique des infractions (de droit commun) dont l’accuse le Japon. À titre de comparaison, en France, c’est l’article 696-4 2° du Code de procédure pénale qui prohibe l’extradition « lorsque le crime ou le délit à un caractère politique ou lorsqu’il résulte des circonstances que l’extradition est demandée dans un but politique ». Selon la jurisprudence française, sont politiques les infractions qui portent atteinte à l’ordre politique, qui sont dirigées contre la constitution du gouvernement et contre la souveraineté, qui troublent l’ordre établi par les lois fondamentales de l’Etat et la distribution des pouvoirs. Depuis un arrêt Koné du Conseil d’Etat du 3 juillet 1996, le refus de l’extradition, lorsqu’elle est demandée dans un but politique, est un principe fondamental reconnu par les lois de la République (PFRLR), qui a donc valeur constitutionnelle. Il n’existe cependant pas de définition universelle de l’infraction politique de sorte qu’il appartient aux juridictions compétentes de chaque Etat d’apprécier l’étendue de cette notion. En pratique, ce sont surtout la trahison, l’espionnage, les atteintes au secret de la défense nationale qui sont considérées comme étant de nature politique. Le nom de Julian Assange vient donc plus spontanément à l’esprit que celui de Paul Watson. Faire entrer le mobile écologique dans la définition de cette notion constituerait une évolution à laquelle la justice danoise risque de se montrer réticente. Les autres moyens de droit Le ministre de la justice danois a déclaré à la presse que « selon la loi d’extradition du Groenland, il est notamment exigé que l’acte soit d’une certaine gravité et qu’il ne s’agisse pas d’un délit politique ». Il a aussi rappelé que l’extradition ne serait pas autorisée si elle s’avérait incompatible avec la Convention Européenne des Droits de l’Homme, à laquelle le Danemark adhère. Car si la Convention Européenne des Droits de l’Homme ne protège pas directement les personnes visées par une procédure d’extradition contre les infractions à caractère politique, la Cour Européenne des Droits de l’Homme n’en reste pas moins attentive à une éventuelle violation de l’article 3 qui prohibe la torture et les peines ou traitements inhumains ou dégradants (Burga Ortiz c/Allemagne, 16 octobre 2006). De sorte que les autorités japonaises, si elles maintiennent leur demande d’extradition, vont devoir donner des garanties à la justice danoise. Les autorités japonaises seront inévitablement questionnées dans le cadre des compléments d’information que ne manquera pas d’ordonner le juge de l’extradition lorsque celui-ci sera saisi, ce qui n’est hélas toujours pas le cas. Car c’est finalement une complicité par instruction qui est reprochée à Paul Watson, qui n’était pas présent sur place au moment de l’accrochage du baleinier japonais, en janvier 2010. Accrochage au cours duquel une flasque d’acide butyrique (beurre rance) a été jetée lors d’une prétendue conspiration d’abordage qui aurait blessé un marin japonais à la joue, d’après un témoignage qui semble avoir été recueilli dans des conditions contestables. Bien que le juge de l’extradition n’ait pas en théorie à apprécier le sérieux des charges, il doit donner aux faits une qualification adéquate en fonction de leur réception par le droit du pays requis, dès lors que la procédure d’extradition repose sur le principe de réciprocité des incriminations. C’est dans ce cadre, que la vidéo de la défense de Paul Watson, qui conteste les faits, pourra être visionnée par les juges danois. De cette qualification dépend l’appréciation de la gravité des faits qualifiés en droit, mais aussi la peine encourue. Or, selon la demande d’extradition formulée par le Japon, la peine encourue est de 15 ans d’emprisonnement. Pour la complicité d’une infraction qui pourrait tout aussi bien être qualifiée d’involontaire, à supposer les faits avérés, cela fait peut-être beaucoup… Une privation de liberté pour une durée aussi longue, dans un tel contexte, pour un homme âgé de 74 ans, père de trois enfants dont deux enfants de 8 et 3 ans, pourrait être considérée comme une peine inhumaine. Il en est de même des conditions de détention en cas de remise au Japon, conditions qui seront scrupuleusement examinées par les juges compétents. En effet, la dureté du système carcéral japonais n’est plus un mystère, notamment depuis la rocambolesque évasion de Carlos Ghosn. Et le juge de l’extradition devra encore apprécier la possibilité pour Paul Watson de bénéficier d’un procès équitable en cas de remise, ce qui, là encore, s’agissant du système judiciaire japonais, n’a rien d’évident. En définitive, l’embarras du choix va peser sur les épaules des juges. À moins que le ministre danois de la justice fasse très prochainement le choix raisonnable d’éviter des débats planétaires. [1] Les Surligneurs, extradition du défenseur des baleines Paul Watson : quel est le cadre juridique ?
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Silence coupable face aux agressions des gendarmes par Israël : Marine Le Pen, Bardella, Zemmour, Rioufol aux abonnés absents
Alors que des gendarmes français ont été agressés par la police israélienne à Jérusalem, les figures politiques françaises de droite et d’extrême droite sont restées silencieuses.
La France vient d’être une nouvelle fois humiliée sur la scène mondiale, mais cette fois-ci, ce sont ses propres gendarmes qui ont payé le prix de la complaisance de nos élites envers le pouvoir israélien. Deux gendarmes français, en mission officielle à Jérusalem-Est, ont été violemment interpellés par la police israélienne alors qu’ils accompagnaient le ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot. L’agression n’a suscité aucune réaction forte ni de la part du gouvernement français, ni de la part des figures politiques de droite et d’extrême droite qui se disent pourtant défenseurs des forces de l’ordre françaises. Un silence assourdissant qui soulève une question importante : qui défendent réellement ces personnalités politiques ?
Gendarmes français agressés : un silence complice
L’incident, survenu jeudi dernier, a vu deux membres de la gendarmerie française violentés par la police israélienne, dans une zone occupée illégalement. L’agression, qui s’est déroulée en présence du ministre français et malgré les tentatives de désescalade des gendarmes, a laissé une image terrifiante : des représentants de l’État français subissant une violence injustifiée dans un territoire sous contrôle israélien. Ce n’est pas seulement l’honneur de nos forces de l’ordre qui est bafoué, mais celui de la France toute entière.
Ce qui est encore plus choquant, c’est l’attitude de nos politiques, en particulier de ceux qui se présentent comme des défenseurs intransigeants de l’ordre et de la souveraineté française. Des figures de l’extrême droite comme Marine Le Pen, Jordan Bardella, Éric Zemmour, le journaliste Ivan Rioufol ou encore les médias comme CNEWS, BFMTV qui habituellement ne manquent pas d’afficher leur soutien aux forces de l’ordre françaises lorsqu’elles sont attaquées sur notre sol, n’ont exprimé aucune indignation face à l’agression de nos gendarmes en Israël. Aucun soutien n’a été apporté aux victimes de cette violence, aucune condamnation ferme n’a été formulée, comme si les intérêts d’Israël passaient avant ceux de la France.
Le national-sionisme : un double discours dangereux
Cette absence de réaction est d’autant plus choquante lorsqu’on observe l’engouement des mêmes personnalités politiques pour soutenir Israël, peu importe les conséquences. Depuis le début du conflit israélo-palestinien, ces mêmes figures n’ont cessé de défendre Israël, souvent au détriment des principes fondamentaux des droits de l’homme. Elles sont devenues des avocates du sionisme, tout en fermant les yeux sur les violences faites aux Palestiniens et sur les humiliations infligées aux forces françaises en mission à Jérusalem.
Le paradoxe est flagrant : ces politiques qui prônent la « préférence nationale » et dénoncent sans relâche les agressions contre les forces de l’ordre françaises, ferment les yeux lorsque ces mêmes forces sont agressées dans un pays « allié ». Leur absence de soutien aux gendarmes français prouve que leurs priorités ne sont pas les intérêts de la France ou de ses citoyens, mais bien ceux d’Israël, dans une logique géopolitique teintée de sionisme.
Un gouvernement et des médias complices
Il est incompréhensible que le gouvernement français, bien que dénonçant l’incident de façon évasive, n’ait pas pris des mesures concrètes face à cette agression. Le ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a bien convoqué l’ambassadeur israélien, mais aucune action forte n’a été entreprise pour défendre nos gendarmes et, par extension, l’honneur de la France. Ce manque de fermeté contraste avec la réactivité immédiate des autorités françaises lorsqu’il s’agit de défendre l’ordre intérieur, mais aussi avec la neutralité complice observée dans les médias.
CNEWS, BFMTV et d’autres grands noms des médias français, habituellement prompts à dénoncer les attaques contre les forces de l’ordre sur le territoire national, n’ont accordé que peu de couverture à cet incident. Cette absence de couverture médiatique, ou sa minimisation, s’inscrit dans une ligne éditoriale de plus en plus encline à taire ou à minimiser les exactions israéliennes, au profit d’une relation privilégiée avec l’État hébreu.
La France doit se réveiller
Il est temps que la France, son gouvernement et ses médias prennent leurs responsabilités. Nos gendarmes, nos policiers, nos soldats, ne doivent plus être sacrifiés sur l’autel de relations diplomatiques biaisées ou d’un soutien aveugle à un autre État. La politique française doit se recentrer sur la défense des valeurs universelles, de la justice et des droits humains, sans se laisser influencer par des intérêts géopolitiques étrangers. Il est grand temps de rétablir l’honneur de la France et de soutenir nos forces de l’ordre, en tout lieu et en toutes circonstances
08/11/24
Source :
https://lemediaen442.fr/silence-coupable-face-aux-agressions-des-gendarmes-par-israel-marine-le-pen-bardella-zemmour-rioufol-aux-abonnes-absents/
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Meloni fait les frais de la doxa immigrationniste
Méloni désavouée , sa justice se retourne vers l’Europe pour savoir si sa politique migratoire, théoriquement souveraine, n’est pas en contradiction avec la volonté d’Ursula/Soros. En clair, la justice italienne ne sait plus ce qui est du domaine de la souveraineté nationale et compte tenu de sa position, on peut même affirmer qu’elle vient de signifier la fin de cette qualité et l’allégeance…
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Kidal libérée et la Transition clarifiée : le discours historique de Dr Choguel Kokalla Maïga au M5-RFP
Discours de Dr Choguel Kokalla Maiga, Premier ministre, Chef du Gouvernement, lors du meeting du mouvement du 05 juin-rassemblement des forces patriotiques (M5-RFP) Monsieur le Président par intérim du Comité Stratégique du M5-RFP, Eminents membres du Comité Stratégique du M5-RFP, Camarades militants et sympathisants du M5-RFP, Compagnons de route membres des Forces du Changement pour la…
#Assises Nationales de la Refondation#Choguel Kokalla Maïga#CICB Bamako#discours politique Mali#Forces armées maliennes#Kidal#M5-RFP#Mali kura#Refondation du Mali#souveraineté nationale#transition malienne
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L’Algérie célèbre le 70e anniversaire marquant le début de la guerre de libération contre le colonisateur français
L’Algérie célèbre le 70e anniversaire marquant le début de la guerre de libération contre le colonisateur français Ouagadougou, 9 nov. 2024(AIB)- L’Ambassade de la République algérienne démocratique et populaire au Burkina Faso a célébré, hier vendredi, le 70e anniversaire du pays, marquant le déclenchement de la lutte de libération et de souveraineté nationale contre le colonisateur français. «…
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"[…] la notion des souverainetés nationales est l'exacte contrepartie, sur le plan international, du principe individualiste à l'intérieur d'un État : avec cette notion, est niée toute idée supérieure capable de favoriser un ordre au sens plein, une unité organique de peuples divers, dans ce qu'on peut appeler un œcumène européen."
Julius Evola, Explorations : Hommes et problèmes (1974)
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25 octobre : la fête nationale kazakhe
Le Jour de la République (Республика күні) commémore l'adoption de la Déclaration de souveraineté de l'État de la République socialiste soviétique kazakhe le 25 octobre 1990. Cette déclaration sera un premier pas vers l’indépendance du Kazakhstan, proclamée le 16 décembre 1991. En effet, le Kazakhstan a été la toute dernière république soviétique à déclarer son indépendance lors de l'effondrement de l'Union soviétique.
Le jour de la République a été officiellement déclaré fête nationale du Kazakhstan en 1995, puis rétrogradé en simple jour férié, au profit du 30 août (Jour de la Constitution), puis du 16 décembre (Jour de l’indépendance), et même supprimé en 2009 de la liste des jours férié par le président Nazarbaïev, puis, finalement, réinstauré en 2022 par le président Tokaïev, comme fête nationale (қазақстанның ұлттық күні).
Le Kazakhstan qui a déclaré son indépendance vis-à-vis de l’URSS, après la Russie elle-même, est resté longtemps très proche de Moscou. En décembre 2021, c’est encore l’armée russe, appelé par le nouveau président Tokaïev qui est intervenue pour le conforter au pouvoir face aux partisans de l’ancien président qui œuvraient en coulisse. Il faudra attendre l’invasion de l’Ukraine par Poutine pour que le Kazakhstan prenne ses distances, refusant d’envoyer la moindre troupe pour s’associer à cette folie.
Un article de l'Almanach international des éditions BiblioMonde
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Mines : ce pays africain sera encore plus riche après la grosse décision prise par son président
La domination chinoise sur le secteur minier congolais est manifeste. Le géant CMOC règne en maître sur la production mondiale de cobalt grâce à ses mines congolaises. La République Démocratique du Congo, géant minier africain, entreprend une transformation radicale de sa politique minière pour affirmer sa souveraineté, notamment face à l’influence chinoise. La société minière nationale…
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Approximations pontificales (et autres)
Pendant les trois mois qu'a duré mon absence sur les écrans, les performances réalisées par le Saint Siège ont été, à mon sens –qui n'est que ce qu'il est : éminemment faillible et sujet à caution –en tout cas, très loin de toute infaillibilité pontificale-- parmi les plus inattendues dans leur être et dans leurs conséquences. C'est au point que je suis dans l'obligation de demander à tous les pratiquants qui ont transféré sur le Pape François le respect sans limite dû au Trône de Pierre, de ne pas aller plus loin dans la lecture de cet ''édito'' : ils pourraient me prendre en grippe ! Merci d'avance aux uns pour cet abandon de lecture, et, plus encore, aux autres, pour leur persévérance.
Tout à commencé avec un cours de géographie plus -graphique que géo- , d'où il ressortait que Marseille n'était plus en France –ce que beaucoup d'entre nous avaient déjà remarqué depuis un bout de temps : cette ville me fait penser au Tanger de mon enfance : sur des terres marocaines, mais ayant un statut ''hors sol'' qui était dit, in illo tempore, ''international''. Marseille, notre ex-belle ville de la Bonne Mère, est devenue, pour son bien très incertain mais pour notre mal certain, un appendice-réservoir maghrébo-subsaharien posé là, comme une excroissance en croissance qui génère de la décroissance, sous le signe du Croissant ! Marseille, pour le Pape François comme pour beaucoup d'autres, n'est donc plus en France, mais il est le seul à oser dire.
Ce subtile distinguo n'a pas empêché le président Macron (mais dans ce cas, est-il Président de la France ou de la seule Marseille ?) d'aller lui serrer la paluche : on raconte qu'il aurait dit : 'Marseille vaut bien une messe'' (NDLR : je crois cette citation apocryphe), ce qui a mis le ridicule microcosme germanopratin en émoi, en pétard, en ébullition, en crise de foie : ''Quoi ? Un chef d'Etat (NB : le Vatican) serait accueilli avec les honneurs dus à son rang, alors qu'il se dit ostensiblement catholique ? Et puis quoi, encore ? Et le laïcité anti-chrétienne, vous en faites quoi ?''. Et tout ce beau monde tellement laid, petit, étriqué et riquiqui de se donner en spectacle dans un solo à plusieurs : ''Plus con que moi, tu meurs !''.
Oui, mais voilà, le Pape a beau être réputé catho --ce qui est impardonnable et incompréhensible, pour un esprit (dé) formé à gauche-- c'est surtout un progressiste affirmé qui ne cache pas (et de moins en moins) toutes les mauvaises idées dont ce mouvement de pensée mortifère peut être la source. Et comme pour s'excuser de ce défaut, le voilà parti dans une défense effrénée de toute migration pourvu qu'elle soit excessive, incontrôlée, pas du tout justifiée, intrinsèquement létale pour tous les pays-cible et leurs populations, privées de leur ancienne ''souveraineté nationale''... et ayant la mort du catholicisme puis du christianisme comme principales motivations.
Et voilà aussitôt toute notre gauche moribonde qui devient ''papophile'' en un clin d’œil : plus catho qu'un gaucho, tu meurs ! On a atteint des sommets... au point que le dit Pape a dû allumer un contre-feu : ''D'accord, tous les migrants sont les bienvenus chez ceux qui n'en veulent à aucun prix, instruits par l'expérience... Mais on refuse la PMA pour tous et l'assassinat des grands malades et des vieillards au dessus d'un certain âge'' (NB : ce plaidoyer Pro domo se comprend, venant du Pape !). Et dans son désir de préciser la diversité ondoyante de son macronisme relatif (cf le ''et en même temps''...) ''François'' a même été jusqu'à ajouter que, pour lui, le mot ''mariage'' ne peut s'appliquer qu'à l'union d'un homme et d'une femme, ce que tous les amateurs de bon sens répètent en boucle depuis des années ''même si on peut imaginer d'autres formes de bénédiction pour des gens de même sexe qui s'aiment''... ce qui est plein de sagesse, une fois n'est pas coutume. Les moins vieux des plus anciens ont en mémoire la célèbre exhortation de Philippe le Hardi à son père, le roi de France Jean Le Bon, lors de la bataille de Poitiers, en 1356 : ''Père, gardez-vous à droite. Père, gardez-vous à gauche !'' Notre Saint père penche nettement des deux côtés, ''en même temps''...
Pour se casser la gueule auprès des progressouillards, ''y a pas mieux'' que de s'opposer à tout et n'importe quel changement-pour-le-changement : le soi-disant mariage pour tous et l'immigration sont deux marqueurs ''sociétaux'' de rêve pour semer la zizanie entre les faux zécolos, les vrais nostalgiques de Staline, ceux de Mitterrand, et les insoumis à toute intelligence. A propos du Pape, la gauche, déjà éclatée en autant de chapelles qu'elle compte de survivants, se re-déchire en deux : les fanas de l'invasion en cours, dite immigration pour faire avaler la pilule, vont se dire pour le '' Pape'', et les amateurs d'une solution finale pour tous ceux qui ne sont pas eux-mêmes et leurs proches vont se ranger derrière le ''pape'', la cohérence et l'unité doctrinales dussent-elles en pâtir : on n'est plus à ça près, depuis un bout de temps !
Heureusement que, dans ce désastre politico-doctrinal, l'écologie a pu amener un peu de baume au cœur des thuriféraires de ''Laudato si'' (= Loué sois-tu) : Laudate Deum ( = Louez Dieu) va replanter le décor : entre les versets de la Genèse'', si poétiques et si beaux qu'on les relit pour le plaisir et les élucucubrations sinistres, partisanes et mensongères du Giec et de Greta Thunberg (''santa subito'' ?), le choix semble être fait, au Vatican : ce n'est plus la Bible qui doit servir de référence : elle est totalement démodée... et les ''climato-sceptques'' adversaires du progressisme (comme toujours non définis) sont condamnables en tant que tels, juste ''parce que...'', quelles que soient leurs vraies raisons d'avoir raison !) : ils doivent aller en enfer vite fait, sans procès... (''damnati subito ?''), c'est le Pape qui le dit !
Car entre la véritable révolution qu'annonce une soi-disant ''démarche synodale'' (en réalité un moyen de faire progresser ce qui n'en avait nul besoin et de mettre du ''changement'' là où on aurait toléré du ''progrès'')... la nomination d'armées de cardinaux-électeurs systématiquement progressistes pour interdire tout retour en arrière... et l'enchaînement d'Encycliques de la même couleur politique... heureux seront ceux qui arriveront à retrouver leurs petits dans l'église qui s'annonce (ou, au contraire, ils seront vraiment très malheureux !).
Je ne serai plus là, je l'espère bien, mais je regrette d'avance un monde qui était largement plus doux et plus amical à l'Homme que toutes les fausses promesses intenables qui camouflent des évolutions qui (on peut le regretter, le déplorer, mais pas s'en étonner), vont tous dans le pire des ''mauvais sens''. Nous aurons l'occasion d'en reparler, hélas...
H-Cl.
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Lai Ching-te promet de «résister à l'annexion» de l'île, Pékin condamne
Le dirigeant taïwanais Lai Ching-te s’est engagé ce 10 octobre 2024 à «résister à l’annexion» de l’île, que la Chine revendique comme une partie de son territoire à réunifier un jour. «Je maintiendrai aussi l’engagement de résister à l’annexion ou l’empiètement de notre souveraineté», a-t-il déclaré lors lors des célébrations de la fête nationale devant le bureau présidentiel à Taipei, le 10…
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